Le traducteur doit-il tout traduire ? Peut-il s’autoriser des anglicismes, ou est-ce le signe d’une incapacité à trouver le mot juste en français ? Quels sont les risques de confusion s’il utilise boardshorts et shortboards dans la même phrase ? Que faire quand on traduit dans un domaine qui regorge d’anglicismes, comme le ski freestyle ou le surf ? Je propose quelques réponses et des pistes concrètes pour faire des choix face à différents types d’anglicismes, dans le numéro 234 de la revue Traduire. Vous pouvez vous le procurer sur le site de la SFT ou patienter jusqu’en juin 2018 pour lire en intégralité mon article « Les anglicismes dans les sports de glisse » – ainsi que les autres textes de ce cahier spécial sport – sur le site revues.org.

(Et pour les moins patients, je réponds déjà à la troisième question : le niveau de risque peut correspondre au pavillon vert, ou orange, ou rouge… tout dépend du lecteur !)